Guide parental

Ernest et Célestine : le voyage en Charabie

Résumé

Ernest et Célestine retournent au pays d’Ernest, la Charabie, pour faire réparer son précieux violon cassé. Ils découvrent alors que la musique est bannie dans tout le pays depuis plusieurs années. Pour nos deux héros, il est impensable de vivre sans musique ! Accompagnés de complices, dont un mystérieux justicier masqué, Ernest et Célestine vont tenter de réparer cette injustice afin de ramener la joie au pays des ours.

Guide parental :

Ceux qui connaissent ce duo atypique et charmant à travers les albums jeunesse ou leur film précédent, pourront découvrir que l’ours Ernest est toujours aussi bougon et que Célestine la souris, a des qualités morales exemplaires. Elle va assumer avec un sens des responsabilités accompli la nécessité de réparer une petite maladresse. Cet acte presque anodin va provoquer, tout naturellement, une série d’événements salutaires, dans une société ubuesque et malade, qui ploie sous des lois iniques. Face à l’aveuglement et à la démence, le récit est un manifeste délicat qui appelle au devoir de bon sens.

Ernest et Célestine : le voyage en Charabie, pour quel âge ?
En raison de quelques scènes de tensions nous conseillons ce film à partir de 6 ans. Il pourra être vu dès 5 ans, accompagné, en fonction de la sensibilité et de la maturité des enfants.

À signaler :
Un personnage est pris dans une tempête de neige mais en sort indemne, une moto chemine sur des chemins vertigineux, quelques scènes avec des personnages emprisonnés injustement, une société où l’absurde est partout, des personnages importants empêtrés dans le mensonge.

Activités en lien avec le film

La presse en parle :

TELERAMA : Entre la beauté du spectacle, la malice rebelle du conte et la réflexion subtile sur la famille, celle qu’on subit comme celle qu’on choisit, ce bijou de tendresse est bien plus qu’une simple suite : un cadeau réjouissant pour tous les publics.
LE MONDE : Le récit intime se glisse dans les interstices d’une course assez folle, conduite avec beaucoup de tendresse, qui jamais ne cède à la facilité de l’action pure.
LES FICHES DU CINEMA : Un récit édifiant et alerte autour des racines et du refus de l’intolérance.