Guide parental

Le grand méchant renard (et autres contes…)

Résumé

Ceux qui pensent que la campagne est un lieu calme et paisible se trompent, on y trouve des animaux particulièrement agités, un Renard qui se prend pour une Poule, un Lapin qui fait la Cigogne et un Canard qui veut remplacer le Père Noël. Si vous voulez prendre des vacances, passez votre chemin…

Guide parental :

Cette adaptation délicate et humoristique d’une série de livres pour enfants, met en scène les animaux de la ferme, autour d’un renard au grand cœur qui a bien du mal à être méchant. Les trois récits qui composent le film développent des personnages très attachants, dans des situations où ils doivent surmonter leurs petites épreuves. Ces histoires, inspirantes pour les enfants, cultivent de belles valeurs grâce auxquelles nos héros viennent toujours à bout de l’adversité.

Grand méchant renard et autres contes, pour quel âge ?
Ce film peut convenir à partir de 5 ans. Il pourra être vu dès 4 ans en fonction de la sensibilité et de la maturité des enfants.

À signaler :
– Violence : Un personnage est visé par un fusil, il s’agit en réalité d’un tranquillisant. Des animaux sont malmenés par un homme. Un cochon est maltraité. Plusieurs animaux se frappent entre eux.
– Autres : Les personnages se mettent parfois en danger. Un loup aux gros yeux est un peu effrayant. Un renard a parfois des grosses dents un peu menaçantes.

Activités en lien avec le film

La presse en parle :

POSITIF : En moins d’1h30, sans insister, sans se prendre au sérieux, et dans de grands éclats de rire : le comble de l’élégance !
PREMIERE : Leur film, plein de tendresse, charmera autant les petits que leurs parents, aussi bien par sa beauté visuelle, les dessins à l’aquarelle étant à la fois doux et dynamiques, que par ses histoires malignes brassant de grands thèmes -la vie de famille, l’amitié, l’écologie etc.- sans jamais être moralisatrices.
TELERAMA : Cette campagne à l’aquarelle, aussi radieuse et veloutée que les décors d’Ernest et Célestine (le précédent dessin animé de Benjamin Renner), regorge de purs moments burlesques, jouant aussi bien de la malice du dessin que de celle de la bande-son (…).